Display Copy Only est un spectacle de danse contemporaine réalisé par Joanne Leighton.
Son travail parait à premier abord brouillon et sans thématique spécifique.
Néanmoins en creusent plus en profondeur, on réalise que la chorégraphe a voulu, au travers de sa troupe « Velvet », monter une espèce de parodie sérieuse de la danse contemporaine.
Cette chorégraphe dénonce le snobisme de la danse contemporaine, le coté « tu ne peux pas comprendre », la notion de déjà vu via les plagia, en mettant en place une sorte de mise à distance ironique.
Elle a utilisé pour arriver à ses fins, le matériel d’autres chorégraphes, Architectes, designers et vidéastes.
Pour ce qui est des costumes, ils évoluent tout au long du spectacle. Au départ, ils sont extrêmement simples et décontractés : tenue « d’échauffement »,t-shirt, training.
Par la suite, les danseurs en arrivent à se retrouver en costume « à la Elvis » moins simple certes.
Pour ce qui est de la mise en scène, elle reste assez épuré et simpliste du début à la fin, et ce dans un décor on ne peu plus minimal (carré blanc sur un sol noir).
Néanmoins, une interaction avec le public a tout de même été mise en place vers le milieu du spectacle. Celle-ci avait pour but de se moquer de la danse contemporaine en prenant comme cible les danseurs étoiles et les instructions à suivre pour un pas de danse ou un avis sur une chorégraphie.
Cette Chorégraphe nous présente un travail plutôt perturbant, qui a pour but de remettre en question, par l’ironie, le statut de la danse contemporaine.
Toutefois, la clarté de son travail laisse à désirer. En effet, à la sortie de la salle, tout le monde n’avait pas saisi le propos.
Par Julie Devyver
Son travail parait à premier abord brouillon et sans thématique spécifique.
Néanmoins en creusent plus en profondeur, on réalise que la chorégraphe a voulu, au travers de sa troupe « Velvet », monter une espèce de parodie sérieuse de la danse contemporaine.
Cette chorégraphe dénonce le snobisme de la danse contemporaine, le coté « tu ne peux pas comprendre », la notion de déjà vu via les plagia, en mettant en place une sorte de mise à distance ironique.
Elle a utilisé pour arriver à ses fins, le matériel d’autres chorégraphes, Architectes, designers et vidéastes.
Pour ce qui est des costumes, ils évoluent tout au long du spectacle. Au départ, ils sont extrêmement simples et décontractés : tenue « d’échauffement »,t-shirt, training.
Par la suite, les danseurs en arrivent à se retrouver en costume « à la Elvis » moins simple certes.
Pour ce qui est de la mise en scène, elle reste assez épuré et simpliste du début à la fin, et ce dans un décor on ne peu plus minimal (carré blanc sur un sol noir).
Néanmoins, une interaction avec le public a tout de même été mise en place vers le milieu du spectacle. Celle-ci avait pour but de se moquer de la danse contemporaine en prenant comme cible les danseurs étoiles et les instructions à suivre pour un pas de danse ou un avis sur une chorégraphie.
Cette Chorégraphe nous présente un travail plutôt perturbant, qui a pour but de remettre en question, par l’ironie, le statut de la danse contemporaine.
Toutefois, la clarté de son travail laisse à désirer. En effet, à la sortie de la salle, tout le monde n’avait pas saisi le propos.
Par Julie Devyver
1 commentaire:
sympa!!!!!!!!
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