Pierre Bismuth est un artiste plasticien français contemporain, né à Neuilly-sur-Seine en 1963. Il expose depuis 1988 dans des expositions collectives et depuis 1992 dans des expositions personnelles. Il a su se faire connaître internationalement par son originalité mais aussi par son penchant pour tout ce qui a trait au cinéma.
Pierre Bismuth ne se contente pas de travailler sur un seul support. Il en expérimente divers qui passeront non seulement par des affiches de films qu’il retravaille, mais aussi des photographies, des vidéos, des installations, des peintures murales (voir p. 8 (1°)). En changeant ainsi de supports, il nous montre une vision différente tout en gardant un même message.
Il utilise d’ailleurs plus les supports que les matériaux dans ses œuvres. On peut néanmoins voir divers matériaux en particuliers dans ses installations. Il use de matériaux recyclés comme le papier, le bois, ainsi que de la moquette. Cela permet donc d’être plus proche de notre quotidien.
Ses photographies, installations et autres montrent aussi une vision de notre société. Comme pour l’installation sonore qui avait mis un dispositif pour renvoyer les sons extérieurs à l’intérieur. Le fait qu’il s’inspire du cinéma dans ses œuvres reflète également notre société, que ce soit avec des photographies de stars qu’il gribouille (voir p. 8 (2°)) ou des affiches publicitaires qu’il plie pour former des origamis qu’il présente dépliés en ne laissant que la trace de sa réalisation (voir p. 9 (3°)).
Lors de certaines expositions d’installations, le spectateur peut contribuer à certaines œuvres. Son œuvre avec de la moquette trouée de cercles (voir p. 9 (4°)) est en fait un bon exemple de la gestion de l’espace pour les spectateurs. Ils doivent en effet choisir de sautiller de trous en trous ou d’éviter soigneusement les vides ou tout simplement de marcher droit devant eux. Pierre Bismuth nous donne ainsi la liberté de circuler de différentes manières parmi ses installations.
Bref, Pierre Bismuth, par son travail, décrit les effets de la prolifération des images sur la vie quotidienne, démontre l’emprise des codes commerciaux et publicitaires sur l’imaginaire et met en évidence les discriminations sous-jacentes aux formes du banal.
Pierre Bismuth ne se contente pas de travailler sur un seul support. Il en expérimente divers qui passeront non seulement par des affiches de films qu’il retravaille, mais aussi des photographies, des vidéos, des installations, des peintures murales (voir p. 8 (1°)). En changeant ainsi de supports, il nous montre une vision différente tout en gardant un même message.
Il utilise d’ailleurs plus les supports que les matériaux dans ses œuvres. On peut néanmoins voir divers matériaux en particuliers dans ses installations. Il use de matériaux recyclés comme le papier, le bois, ainsi que de la moquette. Cela permet donc d’être plus proche de notre quotidien.
Ses photographies, installations et autres montrent aussi une vision de notre société. Comme pour l’installation sonore qui avait mis un dispositif pour renvoyer les sons extérieurs à l’intérieur. Le fait qu’il s’inspire du cinéma dans ses œuvres reflète également notre société, que ce soit avec des photographies de stars qu’il gribouille (voir p. 8 (2°)) ou des affiches publicitaires qu’il plie pour former des origamis qu’il présente dépliés en ne laissant que la trace de sa réalisation (voir p. 9 (3°)).
Lors de certaines expositions d’installations, le spectateur peut contribuer à certaines œuvres. Son œuvre avec de la moquette trouée de cercles (voir p. 9 (4°)) est en fait un bon exemple de la gestion de l’espace pour les spectateurs. Ils doivent en effet choisir de sautiller de trous en trous ou d’éviter soigneusement les vides ou tout simplement de marcher droit devant eux. Pierre Bismuth nous donne ainsi la liberté de circuler de différentes manières parmi ses installations.
Bref, Pierre Bismuth, par son travail, décrit les effets de la prolifération des images sur la vie quotidienne, démontre l’emprise des codes commerciaux et publicitaires sur l’imaginaire et met en évidence les discriminations sous-jacentes aux formes du banal.
Par Florie
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