Rue Saint-Georges, 6-8 – 1050 Bruxelles.+32 (2) 639.67.30.
En juin 2007, cette galerie présente Louise Bourgeois, Richard Artschwager, Roni Horn, Raymond Pettibon et Padraig Timoney...
Louise Bourgeois a été invitée par la galerie Xavier Hufkens. Elle a alors suggéré de s’associer à trois artistes de son choix : Richard Artschwager, Roni Horn et Raymond Pettibon. Pour ces trois artistes s’est la première exposition de galerie.
Les cellules de Louise Bourgeois donnent lieu à différentes interprétations. L’acier qui entoure l’œuvre, protège les objets mais les empêchent aussi de pouvoir s’échapper. La cage représente une forme de solitude. Louise Bourgeois affirme que les « cellules » relatent plusieurs types de douleurs : physiques, émotionnelle et psychologique. Quand la douleur émotionnelle devient-elle physique ? Quand la douleur physique bascule-t-elle dans la souffrance émotionnelle ? La douleur peut apparaître partout et partir dans toutes les directions!
Par Laura
Elle a la réputation d'être l'une des plus prestigieuses galeries de Bruxelles.
Nous avons été néanmoins déçues par l'accueil, qui nous a semblé fort froid et sans communication avec les galeristes (pas faute d'essayer). Lorsque j’ai demandé s'il était possible de prendre des photos on m’a demandé si je comptais plagier les œuvres !
Dès que nous sommes arrivées cette galerie m’a vraiment fait penser à celle que nous avons pu visiter à Anvers.
Différents artistes étaient présentés lors de notre visite : Louise Bourgeois, Richard Artschwager, Roni Horn, Raymond Pettibon et Padraig Timoney. Des artistes de grande renommé.
Louise Bourgeois a pour thème de prédilection les rapports familiaux, la sexualité et le corps.
Dans cette œuvre nous remarquons qu’il y a une cage autour d’un homme, sans doute ne jouit il plus de sa liberté. Si nous observons cet homme, il est enroulé sur lui-même, nous ne pouvons ni voir son buste, ni sa tête. A mon sens il s’agit d’un homme oppressé par la société et qui est totalement emprisonné dans son monde, c’est un engrenage. Dans cette œuvre elle travaille bien entendu le corps. Quand nous sommes enfermé sommes nous réduits à des personnes sans liberté de penser.
Tout dépend du cas, si l’homme est enfermé (emprisonné) par un autre il peut toujours penser par lui-même, tandis que si un homme est enfermé par un objet de notre société de consommation il ne sait le faire (play station, ordinateur).
Par Charlotte
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